La vie de Gurdil [by Gurdil]

Récit d'un jeune nain de nom inconnu. Auteur célèbre de ''La première guerre de Gurdil'', ouvrage magnifique que je vous engage à vous procurez au plus vite (livre paru aux éditions Board Ogame).Voici la première partie de son récit:

Gurdil Cul Brillant. Souvent ce nom fut citer, et rarement retenu.
Gurdil Cul Brillant. Nombreux sont ceux qui en ont entendu parler, et rares sont ceux qui le connaissent.

Chapitre premier: la présentation

Tous sur cette Terre connaissent la fameuse chanson de sa vie (interprété par Tarkan) et bien sur l'anecdote qui lui valu son surnom.
Mais moi je vais vous parlez de sa vrai vie, la partie encore inconnu de son passé.

Ceci, personne ne s'en souvient (pas même lui, normal après 777 ans et 777 777 777 777 tonneaux de bières).

Tout ce que l'on sait, c'est qu'il est arrivé le jour de son 7ème anniversaire, dans la mine de Mliuej. Son corps était couvert de mulitples blessures et les guerrisseuses présentent à l'époque se demandent encore comment il a fait pour survivre.
Son origine reste donc un mystère que je m'emploie à découvrir en le harcelant de questions mais il refuse toujours de répondre prétextant son oubli. Mais je le soupconne de ne pas oser révéler son origine par honte, comme s'il avait été élevé par des elfes.

Cet événement est longtemps resté inconnu, puis secret, mais j'ai enfin découvert la vérité.

Tout d'abord, il faut savoir que lors de son arrivé sanglante à la mine, Gurdil était un jeune nain terrorisé, perturbé au plus profond de son âme. Il était tellement atteint qu'il n'osait pas sortir de sa chambre, et lorsqu'il y parvenait, il ne s'approchait jamais de l'entrée de la mine.
Il resta ainsi un an, sans manger, sans parler et en buvant un verre d'eau par jour. Il maigrissait à vue d'oeil et même sa barbe ne poussait plus.Pourtant celle ci aurait du commencer à être belle et soyeuse puisque 7 ans est appellé l'age barbu chez les nains.

Puis un jour, on ne sait pourquoi, Gurdil c'est levé et du haut de son mètre vingt, il admira sa chambre noir et se promis de ne plus jamais avoir peur de rien. Il sortit en courant de sa chambre, alla dans la salle d'arme, prit une hache au moins aussi lourde que lui avec une facilité halucinante.
Et il s'enfonca au plus profond de la mine.
Tous les nains étaient paniqués car tous savaient que le fond de la mine était l'antre du Hiatu. Ce démon de lave que personne ne souhaiterais rencontré. Gurdil resta absent un long mois, toute la mine le pensait mort, et lorsqu'il revint avec la tête du Hiatu sur son dos tout le monde l'acclama.
A ce moment, une jeune naine pointa un doigt sur notre ancêtre et prononca un seul mot: Tullün.
Un frisson d'effroi parcouru l'assemblée et la fillette mouru.

J'ouvre ici une parenthèse pour vous expliquez ce qu'est un Tullün. Il existe dans ce monde, deux classes de personnes: les héros et les gens normaux. Du moins c'est ce que l'on pensait avant l'apparition des Tullün. Ceux ci sont des gens tout à fait normaux au départ mais qui part accident ou tentative de meurtres, voient la mort de très près. Ils tombent alors en dépression durant très longtemps, 50 ans pour le pire des cas, et puis se réveillent et commettent un fait d'arme extraordinaire. Seuleument pour devenir un vrai Tullün, il faut qu'une petite fille totalement innocente vous reconnaissent comme tel et qu'elle vous regarde en disant le premier et dernier mot de sa vie: Tullün.

Ainsi Gurdil fut reconu comme le premier Tullün que la mine de Mliuej est portée et fut désigné chef à l'âge de 10 ans.
Cependant après avoir terrassé le Hiatu, Gurdil ne voulait pas d'une vie tranquille et naine. Il voulait une vie d'aventure et de beuverie. Il partit alors avec deux de ses compagnons fidèles: Izig et Gazig.

Suite du récit d'un jeune nain.

Gurdil Cul Brillant. Souvent ce nom fut citer, et rarement retenu.
Gurdil Cul Brillant. Nombreux sont ceux qui en ont entendu parler, et rares sont ceux qui le connaissent.

''Ainsi Gurdil fut reconu comme le premier Tullün que la mine de Mliuej est portée et fut désigné chef à l'âge de 10 ans.
Cependant après avoir terrassé le Hiatu, Gurdil ne voulait pas d'une vie tranquille et naine. Il voulait une vie d'aventure et de beuverie. Il partit alors avec deux de ses compagnons fidèles: Izig et Gazig. ''

Chapitre second: La révélation

Gurdil fut le premier à sortir de la mine, il fut ébloui par la lumière et la beauté de la Terre, cette Terre dont il n'avait vu que l'intérieur depuis près de trois ans.
Tel un elfe il s'émerveillait stupidement de tout, la verdure des feuilles, la transluciditée du ciel, le contact des bottes sur un sol non granitique.
Il resta ainsi pendant des heures à écouter le chant des grives sur les arbres, le bruit du vent dans les feuilles et soudain le cri persant d'un corbeau troubla la solennité de l'instant.

Ce cri fit tomber Gurdil à genoux, sa vue se brouilla, sa tête tremblait, il hurla de terreur. Dans sa tête des images de morts et de tortures défilèrent. Une monstruosité sans nom déchiquetant tout dans un village rempli de nains. Il se revit, lui tout jeune entrainé dans un coin par sa mère; son père et tout les nains se battant contre cette horreur de la nature.

Cette bète qui terrorisait les terres de Galdüin, longtemps le peuple nain l'avait pris pour une légende, mais les légendes ont souvent une part de vérité. Et chez les nains, contrairement à chez les humains, le temps atténue la vérité.
Ainsi ce que cette légende oubliée présentait comme un grand renard mais avec six pattes et des crocs assérés était en faite un immense loup haut de cinq mètres avec une machoire capable de broyé nimporte quel matériau, même le mithril. Des dents grandes comme des charrettes et des griffes de dragons. Cette bète qui n'attaquait qu'une fois par millénaire mais qui detruisait toute une contrée pour assouvir sa faim de viande et de meurtre. Cette bète créée par la Terre pour rappeller à tous les peuples qu'elle seule est maitresse du destin du monde: Le Krylöp.

Gurdil est assit dans un coin, coincé entre deux caisses cachées dans une ruelle. Sa mère se tient devant sa cachette.
Non loin de là, le Krylöp fini son oeuvre de mort et des corps de nains gisent ensanglantés sur le sol. La bète les avalent un par un, doucement. Gurdil pousse un petit cri de terreur, la bète lève la tête.
Elle s'approche, la mort approche.
Malgré son jeune âge Gurdil la sent, elle vient le prendre. Ses muscles se tendent, sa bouche se ferment.
La mort approche, il l'attend.
Soudain un cri terrible déchire le ciel, la mère de Gurdil se précipite sur la bète, plus par désespoir que pour la tuer. Ce cri réveille Gurdil, peut être que la mort ne le prendra pas cette fois, peut être le Dieu de la vie lui donne une chance.
Il doit la saisir, il court, il court, il court et court encore. Finalement il tombe raide, épuisé. Il se réveille trois jours plus tard, enchainé à un arbre. Autour d'un feu: dix gobelins, apparemment indisposés à le manger mais bien décidé à lui faire du mal. Le plus grand s'approche, horrible vision d'une tête dépravée par le temps et les combats, il doit être le chef de la bande. Il parle, Gurdil ne comprend pas ou ne veut pas comprendre, le chef gobelin retourne près du feu, se baisse et revient près de Gurdil une tige de métal chauffée à blanc à la main.La tige s'approche...

Douleur sans nom. Cri déchirant les cordes vocales. Voile noir. Envie de meurtre. Plus rien.

Gurdil revint à lui quelques heures plus tard, à peine à t'il ouvert les yeux que de nouveau la tige s'approche...

Douleur sans nom. Voile noir. Envie de meurtre. Plus rien.

Ce manège dure trois jours, la tige brûle à chaque fois une partie du corps différente. Cependant, plus la tige revient et moins Gurdil la sent, il apprend doucement à fermer son esprit à la douleur. Petit à petit, il ne cri plus, il ne pense plus à rien, son esprit est fermé à ce monde. Finalement le gobelin se lasse de ce jeu et de ce nain qui ne veut pas mourir, même lentement. Il part et emmène sa troupe avec lui.

Gurdil se débat, se débat, se débat et finit par déchiré les liens affaiblis par la chaleur. Il tombe, se relève et retombe. Ses jambes ne veulent plus le porter, il rampe jusque dans un bosquet et s'endort pendant une semaine, le temps que son corps récupère.
Il court alors autant qu'il le peut, ses jambes le portant où elles veulent. Est-ce le hasard où l'instinct qui le conduisirent jusqu'à Mlieuj? Personne ne peut le dire, mais Gurdil y est arrivé un beau jour et vous connaissez la suite...

Suite du récit d'un jeune nain.

Gurdil Cul Brillant. Souvent ce nom fut citer, et rarement retenu.
Gurdil Cul Brillant. Nombreux sont ceux qui en ont entendu parler, et rares sont ceux qui le connaissent.

''Elle s'approche, la mort approche.
Malgré son jeune âge Gurdil la sent, elle vient le prendre. Ses muscles se tendent, sa bouche se ferment.
La mort approche, il l'attend.''

Chapitre troisième: Le départ

Il rouvrit les yeux, de grosses larmes coulaient le long de ses joues, de la sueur dégoulinait sur de son front. Il ne savait plus où il était, où il en était. Ce qu'il avait vu c'était il passé? Avait il vécu toutes ces horreurs? Après une seconde de réfléxions et en repensant à la description de ses blessures, il fut obligé de reconnaître que cet épisode de sa vie avait vraiment eu lieu.
Ses deux compagnons le regardait effrayé par l'état de leur chef et néanmoins ami. Que lui arrivait t'il? Pourquoi pleurait-il? De quoi avait-il peur, lui le pourfendeur du Hiatu.

Ils se mirent finalement en route vers des contrées inconnues. Izig et Gazig jetaient fréquemment des regards vers Gurdil, au cas où une nouvelle crise le prendrait. Mais celui ci ne le remarqua même pas, trop absorbé par la vision qu'il venait d'avoir. Celle ci venait de changer sa vie, ses projets. S'il ne pouvait changer son passé, il écrirait son avenir et celui de son peuple.

Il décida de partir chasser le Krylöp, de le terrasser et ainsi venger ses parents et son village. Cependant comment faire? Il ne savait où se trouvait ses terres, seules ses jambes l'avaient amenées jusqu'à Mlieuj, son esprit ne s'en rappellait pas.

Il partit ainsi à l'aveuglette dans des contrées inconnues et hostiles. Jetant souvent des regards en arrière, vers cet endroit qui était devenu sa demeure, son foyer, son sanctuaire. Ce lieu qui l'avait acceuilli à bras ouverts, qui l'avait chéri et soigné. Cette mine qu'il aimait plus que tout, il ne pouvait la quitter sans un immense pincement au coeur.

Il s'en alla ainsi, triste et pensant, accompagné de deux fidèles compagnons...

Suite du récit d'un jeune nain.

Gurdil Cul Brillant. Souvent ce nom fut citer, et rarement retenu.
Gurdil Cul Brillant. Nombreux sont ceux qui en ont entendu parler, et rares sont ceux qui le connaissent.

Il partit ainsi à l'aveuglette dans des contrées inconnues et hostiles.
Cette mine qu'il aimait plus que tout, il ne pouvait la quitter sans un immense pincement au coeur.
Il s'en alla ainsi, triste et pensant...

Chapitre quatrième: La rencontre

Ils marchaient depuis des jours et des jours, errant sans fin, sans but mais avec une faim grandissante. La denière semaine passée dans cette épaisse foret les avaient considérablement afaiblis. Ils n'étaient pas du tout rassurés par toute cette verdure, et étaient constamment sur le qui vive. Le calme de leur mine adorée contrastait avec l'infini fond sonore de la foret.

Soudain ils débouchèrent sur une étendue vide. Les terres étaient dénuées de toute vie, animale ou végétale. Une terre ravagée par la guerre et les combats, une terre récemment souillée par l'insatiable soir de pouvoir de l'Homme.

Gurdil tomba à genoux devant cette désolation. Il imaginait les horreurs perpétrées sur ces terres, des massacres pour du territoire, il ne comprendrait jamais la nature humaine. Il se remémorait également le massacre de son village, le sacrifice de sa mère. Etait elle morte pour lui permettre de voir ça?
En relevant la tête, il aperçu au loin une silhouette et se précipita vers elle. Il s'agissait d'une jeune fille à qui l'on avait brisé les membres, elle était parsemée de contusions et diverses coupures et son corps était parcouru de spasmes violents. Gurdil dans une infini délicatesse l'emmena à la lisière de la foret.

Il ordonna à ses compagnons de faire un feu et de préparer des linges humides afin de nettoyer les blessures de ce petit être. Le feu fut vite allumé et les linges chauffés, Gurdil déshabilla la jeune fille. Malgré son jeune age, il ne peut s'empécher d'admirer son corps et son visage, elle était vraiment très belle et dégageait une aura qui indiquait qu'elle avait une âme forte, ce qui lui avait surement permis de survivre.
Il passa deux jours entier, sans dormir, à son chevet. Il n'arrivait pas à ce l'expliquer mais il ne pouvait la laisser mourir, il l'aimait déjà, non comme une femme mais comme une fille, elle serait sa fille. Au soir du deuxième jour, alors que Izig et Gazig faisait un cul de baleineau (jeu de carte), l'ange de Gurdil ouvrit les yeux.

Joie incommensurable. Larmes de bonheur. Nain ému.

La fillette mit du temps à retrouver ses esprit et lorsqu'elle apercut Gurdil elle prononça un mot: ''Papa?''

Joie intense. Nain attendri. Fillette vivante.

Au cours de la semaine qui suivit, la fillette retrouva touts ses sens et la vivacité due à son age. Gurdil aimait à la regarder gambader gaiement dans le désert, elle courrait après les papillons et lui riait aux éclats.
La veille ses deux fidèles compagnons étaient rentrés à la mine ,agacer par le manque de considération de leur maitre et ennuyé par la monotonie du voyage. Gurdil ne leur repprochait rien, ils étaient des guerries nains et seule les batailles et le bruit des haches pouvaient leurs faire oublier qu'ils pourraient être en train de boire une bonne bière dans la mine. Il était également très heureux de se retrouver seul avec cette adorable enfant.

Bien qu'il lui ai révélé son identité et sa nature, elle continuait de l'appellé papa. Ils n'avaient rien en commun mais un lien plus fort que tout était établi entre eux: le lien de la vie.

Nombre de messages : 47 Date d'inscription : 19/10/2007

et aprés ?

The Mask'ot s'avanca derriere Personne, l'air redoutable et dans une tenue emprunter a Solid Snake. Elle etait plus que magnifique, sa tenue moulait a merveille son petit popotin bien rebondi.

Soudain elle s'elanca et assoma Personne avec le pied d'une table qui se trouvait la par hazard. Nous precisons a nos lecteurs que The Mask'ot n'avait pas rpis la peine de detaché le pied de ladite table.

-ON NE FLOOD PAS PARTIE RP !

Nombre de messages : 23 Age : 35 Date d'inscription : 23/10/2007

alucard arriva et remarqua the mask'ot en tenu moulante de solid snake, il ne pus s'empéché de lui sotté dessu et de lui faire un calin

Nombre de messages : 47 Date d'inscription : 19/10/2007

The Mask'ot a écrit:: -ON NE FLOOD PAS PARTIE RP !

je fais ce que je veux, je zone ici tout seul depuis presque 4 mois tongue